Je lis l'édito du gratuit Stylist dans le métro. Le magazine traite des
économes qui arrivent à vivre pleinement une retraite anticipée de leur
plein gré grâce à leur don d'épargne. C'est assez intéressant la manière
dont ce journaliste écrit. Il parle de son enfance quand un gamin dans
la cour de récré arrive avec un billet de 500 francs et qu'il pense aux
pains au chocolat non engloutis, aux bonbons non dévorés que ce gosse a
certainement dû se priver pour présenter ce trésor à l'école. J'admire
cette façon simple de raconter cet "événement".
Et sinon, Peau d’Âne se courbe sous l'ajout de papier...
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